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          Allez, comme à priori la présentation de ma boite à bijoux a plu, voici ma collection de colliers, présentement enfermés dans cette boite pour subsister au périple qui les mènera jusqu'à l'appartement poitevins...je sais que c'est sans intérêt et que sûrement on y verra rien, mais c'est que j'aimerais tant « poster » qqchose de spirituel, qqchose qui susciterait l'intérêt et les commentaires, j'ai tellement besoin d'attention... mais c'est que je n'ai plus rien en tête, elle est toute vide, et, comme dans les cartoons, dés qu'une idée s'y pointe, hop, elle ne tarde pas à s'évaporer en belles volutes de fumée...

          Nous partons donc mardi matin, ma prés-rentrée est mercredi, et nous passerons la prochaine semaine là-bas avec Rébecca, à nous promener et à apprivoiser la ville, et, en ce qui me concerne, le bus...

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  •       Oula, mais, c'est que j'ai du retard dans le bloguinou moi, dans le mien et celui des autres...


        Bon, en vrai, j'avais commencer un article, encore plus nul que celui-ci, je m'ennuie, oui, alors je ne vais pas, en plus, ennuyer mon immense lectorat ! alors voilà, et en prime, si tu t'ennuies tu peux admirer la photo de ma boite à bijoux, si je la retrouve, cool, hein ?! (tu réponds « ouiii Marie-No d'amour que j'aime!) (merci !)

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  •       Je rentre tout juste du cinéma où je suis allé voir « la science des rêves », une fois encore, mon choix se porte sur un filme étrange qqchsoe qui m'a interpellé...tout comme Tideland (mm si c'est différent, remarque, aussi le thème de l'imagination, le rêve, c'est assez proche, bref !) donc, étrange, des situations, des personnalités attachantes, j'ai trouvais ça si...mignon tant parfois, que j'aurais aimé que cela m'arrive, que cela puisse arriver à qq'1 en vrai... comme je n'aime pas et, ne sais pas, raconter les filmes, je vous balance le synopsis, qui n'est d'ailleurs pas forcément parfait... :


       Venu travailler à Paris dans une entreprise fabriquant des calendriers, Stéphane Miroux mène une vie monotone qu'il compense par ses rêves. Devant des caméras en carton, il s'invente une émission de télévision sur le rêve.
    Un jour, il fait la connaissance de Stéphanie, sa voisine, dont il tombe amoureux. D'abord charmée par les excentricités de cet étonnant garçon, la jeune femme prend peur et finit par le repousser. Ne sachant comment parvenir à la séduire, Stéphane décide de chercher la solution de son problème là où l'imagination est reine...

     Illustration : la photo que j'ai trouvé la plus représentative, encore que...là encore, j'aimerais bien avoir l'avis de qq'1 d'autre, mon accompagnatrice n'avait pas vraiment l'air réceptive à ce genre de choses...
     

         PS : peut être que nous allons passer deux jours à Poitiers demain avec l'homme, peut être...


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  •   Pour commencer : un poème que j'aime particulièrement, « Mon rêve familier », Paul Verlaine.



     Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
    D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime
    Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même
    Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. 


    Car elle me comprend, et mon cœur, transparent
    Pour elle seule, hélas ! Cesse d'être un problème
    Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
    Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. 


    Est-elle brune, blonde ou rousse ? - Je l'ignore.
    Son nom ? Je me souviens qu'il est doux et sonore
    Comme ceux des aimés que la Vie exila. 


    Son regard est pareil au regard des statues,
    Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a
    L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
     


          J'aime à essayer de lire ce texte en respectant la ponctuation, j'aimerais surtout savoir si je le lit comme il faut, pasqu'il faut avouer que cela change tout...Je me rappelle mon très cher professeur de français en Première, qui, par la seule imposition de sa voix sur un texte, pouvait nous en faire saisir les vraies intentions ; un très grand professeur que cet homme là,  quelqu'un pour lequel on ne peut éprouver qu'un profond respect et une réelle tendresse...


             En ce qui me concerne, hier soir, en m'endormant, je me suis sentie très triste, à ne pas savoir pourquoi, enfin si, j'ai peur, je suis...et puis, j'avais tellement pensé à Guillaume, au fait qu'il ne voudrait pas venir me voir à Poitiers, à savoir si entre nous ça marcherait toujours, ou même mieux ou alors moins bien, à considérer le  Lui, que j'en ais oublié de m'interroger sur mes possibles sensations ; il va me manquer, j'avais pas pensé à ce que ça aurait comme effet sur moi, en partant, en choisissant tout, je faisait ma grande, ma femme, mon indépendante, en faite, je ne suit qu'une petite fille qui a terriblement besoin de lui. Ca fait deux mois qu'on dort chaque nuit ensemble et je ne sais plus si je pourrais dormir sans lui et, même si j'ai envie de faire mon chemin, je n'ai rien, je ne sait rien, même pas comment prendre le bus, et j'aurais pas était capable de partir là bas si il n'y avait pas eu Rébecca, enfin, je crois, je ne sait plus, et je vois pas comment, sur 800 personnes, moi, moi, Moi, je pourrais être dans les 25 qui pourront prétendre à obtenir leur diplôme final, je vois vraiment pas comment, j'ai eu de la chance jusque là, je sais pas, et sinon, qu'est-ce que j'aurais dû choisir d'autre... ? mon père m'avait bien dit, que plombier–chauffagiste, ça gagnait pas mal... 


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