Hier, à cause/grâce à mon amie Marine, je me suis un peu, convertie à la eu quoi « manga attitude » (moi je dis « attitioude » à cause du sketch d'Anne Roumanof, mais ça ne regarde que moi !). Enfin bref, ma nuit, enfin plutôt matinée de « non dormage », je l'ai employée à regarder des épisodes d'un manga pour fille (« Host Club » que ça s'appel), je crois que ce genre s'appelle les eu « shojos », oui ce doit être ça, Marine me corrigera peut être si elle passe par là. Ce qui est amusant dans ce truc, et sûrement pourquoi j'ai accroché, c'est déjà pasque c'est un « dessin animé » qui se moque, un peu, des « codes » de ce genre de mangas pour gamines en fleure, y a de pauvres meufs qui couinent aux moindres gestes des héros : une bande de gars dont la vie est dédiée à la satisfaction de ces donzelles, et dans ce but : usage de la drague, de la flagornerie à outrance, de l'excitation invoquer par une relation ambiguë homosexuelle-inceste entre deux beaux jumeaux [ce qui a l'air de pas mal exciter les nippones] enfin j'en passe, ça s'en moque, mais, tout en nous « titillant » avec les mêmes recettes, et le pire, c'est que ça marcherait un peu. Et puis nous aussi on a envie que le chef et la jeune- fille pauvre bourrée de répartie qui se fait passer pour un garçon, tombent amoureux, nous aussi on aime quand tous la protègent...Et puis, c‘est décalé, dans le sens où, comme dit Marine, je suis, un poil trop terre-à-terre pour apprécier tous les mangas, moi je suis une réaliste (je sais plus trop à quoi ça renvoi en philo, mais c‘est pas l'sujet), et pour moi quand y se passe un truc improbable, genre ici une cage qui sort du plafond alors qu'on est dans une salle de musique d'un lycée, une folle qui joue la scénaristes de la vraie vie et qui débarque toutes les 20 minutes, grimpée sur un promontoire qui sort du sol sur une plate forme élévatrice...alors que là, l'héroïne elle-même le souligne, enfin j'sais pas comment vous dire, c'est « différent », quoi j'ai pas regarder d'autres mangas, et alors na, j'aime celui-là, voilà.

         Et puis en outre ces conneries, « ça fait rêver » et je sais pas si c'est bon pour moi de m'abandonner à ce genre de rêveries diurnes d'adolescente prés pubères, surtout en des heures si tardives (entre 2 et 4 heures du matin), ça risquerait de me faire faire des rêves à haute connotation rose bonbon, de « flirtage », de regards croisés, de baisers volés et autres douceurs trop sucrées...je faisait ça parfois, « quand j'étais jeune », je restais le dimanche matin allongée dans mon lit, éveillée à imaginer que untel, dans le petite rue en pente, et si, enfin, bref, ne nous égarons pas mesdemoiselles...enfin, on devient vite accros à ce genre de  niaiseries caramélisée ; j'en suis à l'épisode 10 et je me dis que si un jour je trouve pas la suite, ça va être la mini crise.

            Dans la série « Les supers trucs de Marie-No », voici une recette ; celle, au combien difficile et impressionnante, du thé glacé ! Tout le monde dit « Ouaaaaaaaaa », et mercredi, vous aurez probablement une photo sublime de ce que j'ai réalisé l'autre jour, mais je laisse planer le mystère... Oui, ce blog, après vous avoir parlé de couture, de trucs de beauté maison, traitera de cuisine ! quoi je deviens un blog de bonne femme mère au foyer, peut être que la semaine prochaine je vous parlerais de la douloureuse pousse des dents, qui sait (oui, je dit ça pasque j'ai l'impression d'avoir une dent de sagesse qui pousse).

            Tout à l'heure donc, à l'heure du goûté, j'ai pensé que beaucoup de gens, comme moi, aiment boire du thé, et que peut être, l'été, ils ne pensent pas à le boire glacé (sauf sous forme d'Ice thé super bon, mais super sucré ! ).

            Alors, dans une grande bouteille d'eau, mettez, le soir, on va dire, 5 cuillères à café de thé en vrac, (mais on peut aussi vider des sachets), on secoue, on entrepose couché dans le frigo et le lendemain, miam, enfin, il faut d'abord le passer au chinois, dans une petite passoire ou même un filtre à café pour écarter les feuilles de thé, et puis, enfin miam, eu, plutôt gloup. On peut ajouter du sucre mais c'est même pas la peine. Cela peut être réalisé avec du thé parfumé, en ajoutant du citron, on peut aussi faire des mélanges : genre 3 de Verveine-mente + 2 de Lipton Yellow  + autres chose, etc... enfin place à la créativité! Voilà, quoi je fais des articles avec ce que je veux, j'suis chez moi, non mais! Pi c'est intéressent  non ? 

        Bon, j'sais pas quoi vous dire, à par que « MA bague », ma « bague d'amour » est définitivement cassée « break, broke, broken », et ça me fait presque rien en fait...à quoi bon...j'verrais si je peux pas la rafistoler, enlever la perle et recourber les bras autrement, tant pis ; je suis tellement désabusée je crois, mais pas triste hein, un peu insensible, « je me fais » à tout, je me tais, ça va, voilà, « acceptation », ça coule, ploup, ça finira peut être par me noyer, on verra...le pire c'est que « dans la vraie vie », ça va.

Photo : enfin voilà, photo, ha, à ce sujet, je ne vais finalement pas faire « le concours », j'ai des tas de photo de nature, mais pas si « insolite » que ça et aucun « arbres remarquables », enfin voilà et puis ça coûte trop cher, y faut les faire tirer, les mettre sur un CD, en abandonner plus ou moins les droits enfin bon.

      Ha aussi, j'suis emmerdée pasque je voudrais changer de portable pour ne pas en avoir un avec un écran tout petit et qui fait même pas d'photos, en plus il commence à avoir des ratés (je pense qu'il y a un dispositif dans les portables pour les faire déconner au bout de plus ou moins un an et demi) j'ai noté le « Sony Ericson K800i qu'a l'air d'être fait pour faire de vraies belles photos, mais je voulais prendre un forfais (tout en sachant que je doit rester chez SFR) mais qu'en fait c'est pas avantageux du tout... à l'heure actuelle, j'achète une carte de 15Euros que je finis à peine en un mois, vu que mes deux principaux correspondants (Doudou et Rébecca) m'ont en numéro tout illimité, et que Marine a gratuit le soir après 20H, donc c'est eux qui m'appellent...mais faut que je change de portable, et va savoir combien il va me coûter sans abonnement (surtout qu'il a l'air récent)...oui, je vais chez SFR et je saurais. Intéressant n'est-ce pas.

        Alors, je préviens, cet article sera fouillis (comment ça, comme d'habitude !!), il va donc être composé de différents paragraphes aux teneurs dissemblables, que ce soit du point de vue de leurs thèmes, mais aussi de leurs humeurs ; c'est pourquoi je vous propose de commencer et finir par la partie dont l'ordre vous semble le plus approprié, moi je ne sais pas trop, voilà ce qui me « compose » en terme général, un peu de ci, et aussi de ça.

Ludique, création perso : voilà, en photo le collier que j'ai fait il y a quelques nuits (fini à 4 heure du matin, rien que ça à foutre n'est-ce pas !), mais vous remarquez peut être le problème, le gros bouton en nacre du bas est trop lourd, ce qui déséquilibre l'ensemble...si quelqu'un a une idée...t'être coudre un poids à un endroit stratégique...

Triste, dépressif, alarment, chiant : j'ai toujours l'impression que mon entourage me prend pour une fille folle et instable, d'ailleurs, quand j'ai dit à ********* que j'avais fait un  collier (que ******** n'avait pas vu), en réaction directe, ****** a dit « et tu va bien pleurer quand il sera cassé », oui, bon voilà, cool ; et l'autre jour que ******* me demandait de l'aider à éplucher des pommes, et que je n'avais pas « le bon » économe, c'est à dire, celui qui épluche pas, ***** m'a dit qu'il valait mieux que je laisse tomber, plutôt que d'être, je sais plus le terme : dépitée/déçue/énervée pasque j'y serais pas arrivée...c'est génial, mais ce pourrait être compréhensif vis- vis de certaines réactions difficilement contrôlables dont je souffre, bon, il y a deux ans, j'ai défoncé quelques portes et ébranler quelques tables, mais maintenant la violence je maîtrise, mais la tristesse, les larmes, pas toujours...hier à midi nous sommes allé à la super crêperie pour l'anniversaire de mon père, et la serveuse qui devait avoir le même age que moi, ne nous a pas donné toute la carte, mais demandait de commander le dessert à l'avance, et moi, ça fait 5 fois que je prends la crêpe au chocolat blanc dont je n'étais plus sure du nom, une histoire de Pôle-Nord (son nom en vrai c'est « Polaire »), moi, plutôt que de demander la carte, et après avoir dit « euuum mince c'est quoi le nom de la crêpe avec du chocolat blanc fondu, une boule de glace, de la crème là minccccccce, ha, ce doit être « Iceberg » (vous m'accorderez que c'est du même champ lexicale 0_O), ho aller, ça doit être ça, aller, une Iceberg », et au moment du dessert, le patron, bourru-mais-vachement-simpa me met sous le nez une énorme coupe de glace toute verte « eu c'est quoi ça », « ba c'est l'Iceberg », « et merde me suis trompée, ha bu, c'est à la mente », j'ai lâché « j'mange pas ça moi », et, un peu brusquement il a attrapé la coupe et l'a remporter ; il m'a fait vite faire ma crêpe que je n'ai pas mangé puisque je pleurais, mes parents l'ont avalé par politesse, en plus la crêpe était brûlée et y avait pas le chocolat blanc, y paraît ; bon, c'est sure que ce genre de réaction est tout à fait inappropriée et excessive ; je crois que je me sentais conne, : d'avoir pris trop d'assurance en croyant connaître le nom, et puis, souvent je mange pas le midi, là je déroge à ça en mangeant un plat et un dessert, alors qu'en plus j'aurais eu envie que du dessert, de CE dessert, et on m'apporte ça, et puis j'avais honte de ma réaction de dégoût quand il m'a mit ça sous le nez, et puis lui, il l'a attrapé genre « putain elle saoule celle là », même si c'était gentil, et commercial, de pas nous la compter et d'amener la crêpe alors que c'était moi et seulement moi qui m'étais trompée dans la commande, mais bon, il l'a fait tellement brusquement que...(mais c'est sa nature aussi) et puis après il est venu demander si je l'avais mangée et si elle été bonne et j'avais des larmes (et sûrement du mascara) plein les joues, je sais pas s'il a demander ça par « provocation » ou pour être gentil ; et puis il a du trouver ça stupide, la gamine qui chiale pasqu'elle a pas eu sa crêpe, la grosse gamine qui chiale pasqu'elle a pas assez manger...un peu de tout ça, j'ai encore envie d'en pleurer, je sais pas comment me conduire si je dois y retourner, en plus, je devenais une super cliente, je suis venue une fois et depuis y est traîné trois fois en un mois d ‘autres convives...je suis, tzzzzz, j'ai honte. Ha et sinon, mes copines m'ont encore rappelé, le même jour en plus, que mes décolletés tombent trop et que ça fait grosse pouf...c'est pour mon bien, je sais, et je sais en plus mais je fais pas (souvent) exprès, dans le magasin ça fait pas ça, et puis quand on est gros, on est censé avoir des gros seins donc voilà pourquoi et puis une fois que t'as ton sac à main en bandoulière qui tire dessus, et ci et ça, mais oui je sais que c'est pour m'aider qu'elle me disent (répètent) ça, comme si je disais « ha, t'as du persil entre les dents », mais ça me saoule/fait de la peine, même si sûrement pas pour être méchante, mais voilà.   [pardon, c'était long].

Rigolo, sympa, insolite, notable, pelle mèle, voilà na : moi, Marie-Noëlle, Anne, Jeanne ******, ai acheté des ballerines !!! dans un magazine pour pétasses en plus, avec des cerises dessus, mignonnes et que avec, on dirait presque plus que j‘ai deux énormes rosettes de Lyon à la place des pieds. Et puis ce sera pratique pour aller marcher jusqu'à l'auto-école pasque même si c'est pas non plus à des kilomètres, aïe. En parlant de ça, le jour du restaurant, on allait comme d'hab' au code avec Marine, et le gars nous dit « ho, les filles, y en a pas une d'entre vous qui veut faire sa première heure de conduite » ?? euuuuu regarde complice/inquiet, je répond que nous ne somme pas dans les bonnes dispositions psychologique ce jour là, Marine super énervée à cause de l'évocation de *** ***** ****** indigne, et moi après l'incident du restaurant (mais ça, elle ne le sait/savait pas, quoi qu'elle a t'être senti que) j'ai aussi dit que ça demandaist quand même une petite préparation psychologique, mais ai sauté sur l'occasion pour qu'il nous inscrive enfin à la conduite....jeudi !: moi à 14H, une heure de papote avec Marine, qui elle « passera à la casserole » à 16H, pendant que moi je raconterais mes malheurs/impressions avec ma psy (qui fait un peu chier à bouger mes rendez-vous ces temps si, mais bon, je l'aime, je lui pardonne).

Ha, ba c'était tout, même si c'était un peu long, han, si vous en voulez encore :

            Est-ce qu'on écrit pas mieux quand on est vraiment malheureux ? délaissé? perdu ? et comment je suis moi ? en ce moment ? et depuis quand ? et ai-je évolué réellement ou...est-ce que les gens, puis les autres, et les proches, se rendent compte clairement, ou mal, ou pas, ou est-ce que c'est moi qui enjolive, ou déprécie, je n'ai jamais (presque) su m'évaluer de toute façon, sur quoi que ce soit. Peut-on vraiment changer ? d'habitudes, de manies, de consommation, de comportement, de ressenti, de réactions, d'envies ; d'idéaux. Peut-on vraiment s'habituer un jour ? et est-ce bien ? logique, préférable, ou déplorable ; est-ce de la faiblesse ou de l'ouverture, ou encore de l'opportunisme ?

            Je ne sais pas comment je me sens, comment je suis, si je suis éteinte ou pleine de vie, parfois je me dis...on s'habitue à des choses vis à vis desquelles on devrait peut être toujours : s'insurger, se plaindre, craindre, regretter, déplorer, pleurer...est ce que dans ce cas on abdique ? accepte avec maturité ? ou avec lassitude, par faiblesse ?

            Désolée, ces verbes veulent tous dire quelque chose pour moi, bien qu'ils puissent certainement résonner différemment en vous ; y a des moments comme ça, où je devrais éviter de ressasser, de me remémorer et de poser toujours des putains de questions à la con, sans fin, et surtout sans aucune espèce d'espoir de réponses arrêtées.

Image : et pourquoi je mettrais pas une photo de courgettes en illustration, au contraire, c'est tout à fait approprié, na ! 

PS : et pourquoi je ne peux pas lire, là, ce soir, sans qu'il me faille trouver un « prétexte », une « excuse », pourquoi je pourrais pas aller me coucher dans le jardin ?