Ha aussi, j'oubli de préciser que, "j'aime pas Noël", pasque ya plus mes séries habituelles, et ça, ça me saoul, même si des fois j'aime bien, oui, ces fichus films de Noyel, où faut que le vilain héros il refasse sa journée encore et encore jusqu'à ce qu'il ne soit plus égoïste et jusqu'à ce que l'esprit de noël (une belle brune en jupette rouge), ne lui montre tout les moments de sa vie ou il n'a pas fait les bons choix, où il s'est éloigné de sa famille...bla bla bla bla, non j'aime pas Noël, et puis aussi, voilà ma position sur le père Noël, et j'aimerais d'ailleurs, bien avoir la votre...pensez-vous que ce soir une bonne chose, ou non, de faire croire à vos enfant au fameux barbu ou visage rubicond et au costume écarlate?? (est-ce que « visage rubicond » ça se dit, est-ce que ça fait pas pléonasme, est-ce que rubicond ça veut pas déjà dire « visage rouge » ??) enfin bref, moi, je n'y ai jamais cru, je me souviens de mes premiers cadeaux, et d'être allée les choisir avec ma mère. Mes parents sont un peux marginaux si on y réfléchit, et ça fait parti des choses qui leur importaient beaucoup. Et je n'ai pas l'impression d'avoir était traumatisé, mais à coté de ça, même si je trouve ça moche de mentire à ses enfants et d'entretenir ce fameux mensonge, les enfants, à la découverte de la non existence de père noël (ha, désolée si étiez pas au courent !lol), n'en sont pas morts non plus...et puis, il paraît que ça développe l'imagination ? C'est peut être pour ça que je suis devenu si terre à terre, qui sait ? J'imagine bien que dans mon cursus on viendra à nous parler des croyances enfantines...j'aimerais bien aussi qu'on nous parle de l'éducation des enfants, de leur construction en détail, pour savoir si je doit changer de positions au sujet de l'adoption par les couples d'homosexuels, tout ça, j'espère qu'on nous parlera de concepts comme ça, pasque l'hystérie ça va cinq minutes mais bon...Pour en revenir aux homosexuels, je ne voit pas pourquoi ils n'auraient pas le droit, et qu'est ce que ça peut faire, y a bien des enfants élevés seulement par un seul parent, et ça n'en fait pas immanquablement des enfants perturbés...et puis on doit trouver un modèle de référence du sexe manquent ailleurs, nan ? ça, ça m'intéresserait qu'on en parle. Et puis le mariage, je ne voit pas pourquoi non plus, moi, quand je serait avec, en ce qui me concerne (normalement) celui que je considérerais comme  « l'homme de ma vie » (s'aurait pu être une femme) je pense que j'aimerais bien avoir le choix de me marier ou non, d'avoir le choix. En socio on parlait du recul du mariage et y a un vieux qui assiste aux cours et qu'a demandé pourquoi, alors, les homos revendiquaient le droit à se marier...la réponse coule de source non, je pense que si j'était homo, et même si je n'envisageai pas de me marier un jour, je pense que je me battrait au coté des autres pour avoir le choix . Enfin, c'est bien facile de spéculer comme ça, mais ce doit être dure, la vie, et de trouver un compagnon, déjà quand on voit les problèmes des hétéro à trouver « chaussure à leur pied » (d'ailleurs hier j'ai acheter des espèces de bottines-santiags Picolinos, très chouette, mais bref). Enfin voilà, et l'acceptation de la famille, on en a parlé avec ma mère, et je pense que je réagirai comme elle, ou si des amis proches m'annonçaient telle nouvelle, je serai sûrement choquée, pas choquée outrés, mais sous le choc, c'est peut être normal quand même, non pas déçue, mais perturbée, et, selon ma nature, je m'inquièterai, pour son avenir, je me dirai que ça fait un poids de plus à devoir assumer, que ce ne sera pas toujours facil, et puis, pour un parent, c'est sûrement aussi l'écroulement de tous ses projets pour son rejeton, même s'ils n'ont pas fait de plan sur la commette, mais se dire qu'il n'y aura pas de mariage, pas de grand-mère, tout ça, alors, peut être que si toute ces choses entraient dans les mœurs ça aiderai aussi l'acceptation. Et aussi, on peut se poser la question, est-ce que l'éducation prodiguée par les parents, le cadre de vie tout ça, est-ce que ça a influé là dessus... Notons ici, ce qui m'a frappée, c'est que dans mon dico de psychologie (Laplanche et Pontalis) il est indiqué que ce qui est pervers, déviant, se sont les rapport sexuel qui ne sont pas effectué avec un être du sexe opposé, ups :

Perversion : « déviation par rapport à l'acte sexuel « normal », défini comme coït visant à obtenir l'orgasme par pénétration génitale, avec une personne de sexe opposé », bon déjà, ils ne nous disent pas que c'est que dans le but de procréer... Alors, faut-il voir l'homosexualité comme une déviance à accepter, ou comme une nature d'être différent, ou alors, faut-il s'abstenir de toute classification et seulement garder l'esprit ouvert vis-à-vis des « choix » (à priori ce n'en est pas un) de vie des gens...  Bon, j'espère susciter les réactions, mais pas que mes propos soient mal interprétés (j'avais 73 visites hier, et j'ai compter et déduit les miennes de ce nombre, alors, le conteur débloquer ou quoi ? j'comprends pas).

    Et dite, comment j'en venu du Père noël aux homosexuel moi ???!

    Je me demande comment je suis perçue derrière mes lignes... (et par qui, aussi).